Comment raconter ce fouillis d'images griffonnées cet été entre deux villes Portuguaises ?
Reprendre la route sur papier, remettre mes pas dans ceux des rêves qu'on a bien voulu me prêter ?
Le journal des villes invisibles s'écrit peu à peu, par bribes, par anecdotes, respectant le mystère
de ce qui résiste à l'oeil du passant trop pressé.
Prenons le temps, donc.
" O ceu azul -o mesmo da minha infancia
Eterna verdade vazia e perfeita
O macio Tejo ancestral mudo
Pequena verdade onde o ceu se reflecte !..
O magoa revisitada, Lisboa de outrora de hoje
Nada me dais, nada me tirais, nada sois que eu me sinta. "
Pessoa...again